| | | Drogue&sexe. [Satoru] |  |
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Ota Hiroki
~ FUUZOKU
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| Sujet: Drogue&sexe. [Satoru] ![Drogue&sexe. [Satoru] Icon_minitime](https://2img.net/i/fa/icon_minitime.gif) Dim 10 Jan - 18:11 | |
| Hiroki se réveilla, encore une fois dans le lit d'une fille. Il escquisa un léger sourire de sactisfaction, encore une fois, cette nuit lui avait parût plus qu'aléchante à ses désires. Il se leva, observant cet appartement, qui ne semblait pas du tout être à côté de son lycée. 6h56, c'est se qu'indiquait se petit réveille sur la table de chevet. Il aura largement le temps d'aller à son lycée, en 2 heures, qui plus est. Il décida donc de s'habiller, prenant précaution de ne pas réveiller la jeune fille. Voyant de l'agent posé sur ses vétements, il souria de satisfaction. Il gagnait beaucoup cette semaine, et évidemment, il se disait qu'il ètait plutôt bon au lit par rapporter autant ... 300€ c'ètait la somme que la jeune fille lui avait donner pour une petite heures passer ensemble, nouant leur désire mutuellement. Hiroki regarda la jeune fille dormir paisiblement, puis se mit à enfiler son pantalon. Mais, malchanceux soit-il, il fit tomber un vase en esseyant d'enfiler son pantalon à cloche pied. Evidemment, la fille se réveilla en sursaut, et regarda fixemen Hiro, qui ètait en posture assez délicate. Il posa un pied par terre, et commenca à parler calmement :
A ... Ano ... excuse moi d'avoir casser ton vase ... Je te laisse tranquille.
Ne ? Tu ne restes pas ?
Et bien , non.
Hiroki-kun, je pensais que tu allais rester ... C'ètait tellement bien ...
Choisir de vider ton porne monnais juste pour passer du bon temps, c'est pathétique je trouves. Même si c'est cela qui me fait vivre, je ne vois pas pourquoi tu voudrais avoir plus. Sur-ce.
Hiroki, reste ! Je t'en supplie !
Il claqua la porte derrière lui, lachant la poignée doucement. Il soupira de lassitude, il avait tellement l'habitude de cette situation. C'est pour cela qu'il préférait les garçons aux filles, eux , ils ne tombent pas sous le charme du désire émit pendant toute cette toride nuit. Non, en fait, les garçons cherchent plus à ce ... Lacher et passer une bonne nuit. Certain tombe dans le piège du sexe, mais pas autant que les filles. Ce que Hiroki trouvait bizarre, c'est que souvent, les filles qui se donne, elles sont jolie, plutôt gentil, et bonne. Hiroki ne comprenait pas pourquoi se genre de fille vendait leurs corp à un inconnu, alors qu'elles ont tout pour elles. Malgrès qu'il pensait tout cela, il n'a jamais eu l'idée de sortir avec l'une d'entre elle. Le sexe lui colle à la peau, et il à toujours envie de se prostutié avec de nouvelle trouvaille, de nouvelle proie. Il les repères, quand quelqu'un lui plaît, il le suit, jusqu'a se trouver seul avec le ... "repas".
Hiroki ne croisait que des gens fade dans la rue. Dépourvu d'expression, de sourire, de joie. Rien n'apparaissait sur leur visage pale, ce qui dégoutait Hiroki. Cela ne lui donnait plus envie de se trouver un noveaux gibier pour se soir, et d'ailleurs, cette semaine, il n'avait eu quasiment que des filles. Les garçons lui manquaient. Pouvoir se servir d'eux et de leur objets, cela lui manquait. C'est pour cela, que son regard se posa sur tout les hommes qu'ils croisaient. Des beaux, des pas beaux, des maigres, des minces, des gros, il en croisait de tout, mais aucune d'eux ne lui mettait l'eau à la bouche.
Il arriva près de son lycée, et les élèves se faisaient de plus en plus nombreux. Hiroki ètait arriver en avance, et observait autour de lui pour trouver sa proie, pour se soir, ou même maintenant, avant les cours. Sayer, ton fantasme ètait lever. Coucher avec quelqu'un, quelque minutes avant les cours. Mieux même ! Sur le bureau du proviseur. Hiroki souria, et se mit à marcher en direction du hall, d'un pas déterminer et élancer. Soudain, il pu apercevoir un jeune homme, brun, assez mignon, mince, une allure éféminé, mais cela lui donnait tellement de charisme et de sexappeal, que Hiro craqua. Quel charmant jeune homme, il en avait l'eau à la bouche. Rien que d'y penser, cette exitation commencer à monter.
Il le fixa quelque seconde, celui-ci avait des cernes. Conssomait-il de la drogue ? Hiro trouvait sa encore plus bon ... Coucher avec quelqu'un qui est légèrement dans les vapes, il en ètait extasier. Le jeune prostitué se lecha les lèvres et se dirigea vers le Mayaku qui semblait se diriger vers le couloir du 2ème étages. Allait-il dans sa chambre ? Hiro n'en avait que faire, après tout. Le jeune remarqua la présence du prostitué, mais ne disait rien quand à cela. Pourquoi ? Hiro ne s'en souciait pas, mais son désire passait avant tout.
Le Mayaku alla en direction du toit. Mais qu'allait-il faire sur se toit ? Ota réfléchissa quelque seconde, et pensat que ce jeune homme devait être un dogué, pour l'attirer dans ses filets, il fallait lui tendre un piège. Lequel ? Et bien ... Hiroki fera semblant de lui vendre de la drogue. La est son plan diabolique pour pouvoir exercer son pouvoir sexuelle sur ce jeune homme Mayaku. Avant même de s'arrêter sur le toit, il souria encore une fois, un sourire malsain. S'arrêtant à la porte qui conduisait au toit, il s'adossa sur le revers de la porte, posant son pied par la même occasion, essayant de faire du charme au jeune homme en face de lui. Hiroki fit mine de vouloir fumer, et sortit une cigarette, pour lui montrer qu'il ètait dileur, en quelque sorte. Même si Hiro ne fumait pas, fumer devant ses proies pouvaient les attirer encore plus dans ses pièges, surtout quand c'est un Mayaku. Il regarda vers le ciel, laissant s'échapper de la fumer sortant de sa bouche, puis il usa de son charme en souriant au Mayaku :
Tu cherches quelque chose peut-être ?
Il sortit un sachet ou se trouvait sois disant de la drogue. Mais en fait, cètait de la farine. Encore une technique pour attirer ses personnes. Hiroki savait très bien comment s'y prendre, à n'importe quel moment, n'importe ou. Et le jeune Mayaku tomba dans son piège. Il se dirigea vers Hiro, tendant sa main pour attraper le sachet de "farine", mais Hiro s'amusa à lui passer sous le nez, et ses quelques paroles sortirent de sa bouche malfaisante, sous le ton de la taquinerie :
Ah ah ah ! Tu penses peut-être avoir se trésor aussi facilement ? Approche ...
Il s'approcha de l'oreille du Mayaku et commenca par lui caressa légèrement le bras gauche. Puis, il lui sussura quelque mot et laissant parraître un léger gémissement :
Comment t'appelles-tu ? ... hmm ... Tu sais ... Je ne donnes pas cette drogue aussi facilement. Je veux quelque chose venant de ta part, aussi.
Il se retira délicatement du jeune homme, et reprit une bouffé d'air de cigarette, en attendant la réponse du jeune homme en face de lui. | |
| | | | Kobayashi Satoru
~ MAYAKU
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| | Sujet: Re: Drogue&sexe. [Satoru] Dim 10 Jan - 23:49 | |
| Aujourd’hui était l’avant dernier jour pour pouvoir enfin souffler. Enfin vendredi était arrivé ! C’est avec vitesse que le nippon s’extirpa de son lit et s’habilla. En deux trois mouvements, il était déjà dans les couloirs. La sonnerie retentit lorsqu’il mit à peine le pied dans la salle de classe. A l’heure, c’était merveilleux. Mais déjà notre drogué n’en pouvait déjà plus. Sa dose de drogues c’était diminué fortement et s’était donc réduit à consommer de moins en moins jusqu’à le néant. Néant ayant commencé hier soir …
Les cours, les cours, les cours et encore les cours. Tout cela l’agacé. Et pourquoi ne pas tout simplement sécher ? Slalomant entre le nombre d’élèves qui couraient, exprimé leur amour, joué. Et tout cela, Satoru devait les évitaient. Mais à ce train là, il n’arriverait jamais à franchir le pas de sa porte de chambre. Enfin un chemin se fit et laissa le passage donc libre. Cependant, Kobayashi sentit comme un regard se poser sur lui, il se retourna doucement remarquant qu’une personne immobile le regardait comme s’il le contemplait de haut en bas. Le nippon frissonna apercevant que le regard du jeune inconnu se fit de plus en plus intense.
Ne prêtant pas plus d’intérêt que ça, il continua sa route vers sa chambre. L’inconnu le suivait maintenant. Ah bah ça, Satoru s’en serait certainement douté ! Alors il marcha toujours mais sans augmenter sa marche, contournant ses pas vers … Le toit. Pourquoi le toit ? A vrai dire, il ne savait pas non plus. Peut être que l’inconnu voulait quelque chose de Kobayashi que lui-même ignorait. Arrivé à destination, le drogué se tourna vivement lorsqu’il entendit que l’autre aussi était arrivé. Croisant les bras, il foudroya l’impudent qui avait osé le suivre comme cela. Ce dernier ne manquait pas de se la péter extrêmement avec sa cigarette au bec et son allure d’homme super sur de lui.
Portant son regard au ciel, la fumer sortit de sa bouche lui donnant un air de parfait joueur. Le nippon soupira face au gros fouttage de gueule que lui offrait l’inconnu. L’appelait comme cela l’énervé, ne pas savoir son nom le gênait et l’énervé. Oui, car il faut le dire, Kobayashi Satoru n’ai pas l’idéal pour retenir les choses et encore moins reconnaître ou se souvenir des têtes des gens. Bref, reprenons. Notre drogué se retrouvé là, devant … L’inconnu … qui glissa sa main dans sa poche pour en ressortir l’élixir de vie de Satoru. Soudain, de grands yeux. Ce mec là venait de lui « sauver » la vie. Il s’approcha alors de l’individu mais ce dernier ne fut pas d’accord et le sachet passa sous le nez de Kobayashi qui soupira de lacement. Pourquoi tant de haine ?
Ah ah ah ! Tu penses peut-être avoir se trésor aussi facilement ? Approche ...
Et il trouvait ça marrent ? Quel imbécile. L’avoir facilement ? Exactement ! C’était comme ça que fonctionnait Satoru et pas autrement. Alors c’était soit il le donne son sachet soit… Soit … Enfaite il n’en savait rien du tout ! Il en avait besoin de se sachet ! A tout prix même ! Alors il serait prêt à n’importe quoi pour les avoirs, juste parce qu’il était accro et plus. Le drogué perdu dans ses songes se laissa toucher par cet imbécile qui avait croisé le chemin et l’avait suivit à son grand malheur. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, celui-ci prit plaisir à le toucher et lui susurrer, gémir dans son oreille. Sato se força à fermer ses yeux instinctivement.
Comment t'appelles-tu ? ... hmm ... Tu sais ... Je ne donnes pas cette drogue aussi facilement. Je veux quelque chose venant de ta part, aussi.
Sentant que le « dealer » retira Kobayashi de lui, il ré-ouvrit les yeux et regarda l’inconnu qui lui avait demandé son nom. Amical. Se montrer amical. Comme ça il aura sa drogue plus facilement et sans aucune entourloupe, il sourit alors sous ses propres-ordres mais contre cœur. Pourquoi fallait il qu’il joue faux pour se procurer se si peu de drogue qui donnait au nippon u autre souffle de vie . En parlant de souffle, l’autre s’impatienta et finit par lâcher une autre bouffée de cigarette. Mieux vaut parler.
Mon nom est Kobayashi Satoru et toi?... Et comment tu as su que j'étais un drogué?
Kobayashi tenta de s'approcher encore du sachet mais en vain. L'inconnu l'approcha contre lui encore une fois, qu'il était collant celui là! Satoru ne se retira pas pour autant mais s'approcha du visage de ce dernier. D'une voix suave, il glissa ses doigts sur le torse de l'inconnu cherchant à avoir son objet tant aimé.
Neee ~ que veux tu? Je veux cette chose alors donne moi ça ... Onegai... | |
| | | | Ota Hiroki
~ FUUZOKU
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| | Sujet: Re: Drogue&sexe. [Satoru] Mar 12 Jan - 22:54 | |
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Le piège ètait ce qui ètait de mieux pour attirer ses victimes dans ses filets. Tel ètait la stratégie de Hiroki pour attirer ses proies. Le jeune homme en face de lui ètait effectivement un Mayaku;vu sa réaction à la vu de la "fausse" drogue. Hiro aimait jouer avec sa, avec ceux qu'il lui servait de jouet sexuelle. Mais en premier lieu, il voulait l'appater et c'est ce qu'il ètait entrain de faire d'ailleur. Effectivement, le Mayaku semblait encorer s'impatienter, puis d'un léger sourire, il dit d'une voix amicale et reposante :
Mon nom est Kobayashi Satoru et toi?... Et comment tu as su que j'étais un drogué?
Je m'appelle Ota Hiroki. Enchantée ! dit-il en faisant un clin d'oeil et en esquissant l'un de ses plus beau sourire, toutefois, extrèmement malsain. Et bien ... J'ai pu reconnaître que tu ètais un drogué, car j'en ai rencontrer beaucoup des personnes comme toi. Dépérissant sur place, n'ayant pas la moindre drogue dans les parage, cette source de vie, qui l'est pour vous, les drogué. Vos cernes, signifiant le manque de fatigue, signifiant aussi que vous vous shooter à cette source qui vous fait vivre. Votre comportement ... dit-il en jettant sa cigarette par terre, l'écrasant de son pied droit, rejetant le reste de fumer qui c'ètait enfuie dans sa bouche. Tu as tout d'un drogué, Kobayashi Satoru.
Le Fuuzoku se redressa, marchant lentement vers Satoru. ll le rapprocha encore une fois de son corp musclé et sculter, tout en le caressant de parts et d'autre. Le jeune homme en face de lui semblait se fier à son jeu. Il glissa ses doigts sur le torse de Hiro, ce qui le fit légèrement sourire. Lui aussi aimait jouer et d'ailleurs c'ètait son passe-temp favori ! Bref. Puis, d'un petit ton suave, il fixa les yeux de Hiroki en passant furtivement vers sont torse :
Neee ~ que veux tu? Je veux cette chose alors donne moi ça ... Onegai...
Hiroki haussa un sourcil. Il n'allait pas lui donner aussi facilement, sans avoir quelque chose venant de sa part. Qu'est-ce qu'il croyait celui-la ?! .. Mais justement, Hiro se servit de cette faciliter à berner pour encore plus l'attirer vers cette fausse drogue et surtout ... Vers cette chose tant attendu; Le Sexe. Satoru semblait s'impatienter, ce qui fit sourire encore plus le Fuuzoku. Jouer, jouer et encore jouer, tel ètait sa tactique pour appater ses victimes. Ota descenda ses mains baladeuse vers la ceinture du Mayaku, et d'un petit geste, il glisa une main en dessous du tee-shirt du Fuuzoku. Tout les deux jouaient, ils ne cherchaient qu'a avoir leur drogue permanente, chacun d'eux. Sex&drugs. Le Mayaku semblait se fier à ce que faisait Hiro, il ne disait rien, se laissant toucher ... Ota s'approcha de l'oreille du jeune homme en face de lui, et d'une voix sensuelle et pleine de malise , il déclara en sussurant :
Ce que je veux ? C'est toi, chèr Satoru.
Il se retira quelque seconde pour observer les yeux de Satoru. Celui-ci ne disait rien, il restait de marbre, pourquoi ? D'habitudes, les victime de Hiroki ètait d'accord pour tou rapport, mais lui, il semblait ... Il semblait ... Il semblait être habituer à ce genre de situation. L'a t-il déjà vécu avec quelqu'un ? Mais en tout cas, Hiroki ne se laissera pas battre aussi facilement. Le sachet toujours dans ses mains, il le secouait légèrement pour donner encore plus envie au Mayaku de ce jeter sur lui. Ce dernier faisait des grimaces expressif, qui voulait dire :" P*t*in f*is chi*r , donne moi s'te P*ut*in de drogue". Ce qui fit encore plus sourrire le Fuuzoku, tout sa l'exitait, son corp l'exitait, son sexe l'exitait, tout l'exitait. Il rigola sous un petit souffle, puis il posa son doigt sur le torse du jeune homme, le laissant glisser jusqu'a son ventre sculter, descendant encore une fois faire sa ceinture, qu'il déboucla d'une seul main. Il se lécha les lèvres à ce moment la, puis il se ré-approcha de l'oreille de Kobayashi, et d'une voix malsaine et perverse, il lui murmura encore une fois :
Je te veux, toi et ton corp. Contre sa, je te donnerais cette drogue, que tu désires tant.
Il passa sa main en dessous de Satoru, il avait les mains geler, ce qui le fit frissoner quelques instant. Et d'une voix encore perverse, il murmura :
Je suis gelé, mais je veux que tu me rendes chaud comme la brèse, Satoru ...
Hiroki le tira un peu vers lui. Cela lui faisait penser aux conquêtes qu'il avait déjà eu auparavant. Tout cela lui manquait tellement, du sexe avec un garçons, du sexe ... Mais cette fois, Satoru ne ressentait pas non plus cette envie de "sexe". Il ne savait pas quoi mais ... Il ètait attirer sous un tout autre sentiment que physique et sexuelle. Mais enfin ... Il ne se souciait pas plus de ce qu'il pouvait bien penser. Et alors que le jeune Mayaku voulu dire quelque chose, Hiro posa un doigt sur sa bouche, et s'approcha de lui, et de son visage... De plus en plus près :
Chuuut ~ ... Ecoute moi. Suis-moi, et tu auras tout ce que tu veux ...
A la suite de cette phrase, il posa ses lèvres frêle sur celle du Mayaku, qui ne semblait pas le repousser non plus. Hiroki gagnait-il maintenant ? Aucune idée ... Le seul moyen de le savoir, c'est de savoir s'ils vont faire vraiment cette chose attendu. Coucher ensemble. Hiroki tira le bras de ce dernier, pour pouvoir l'emmener dans l'endroit désirer, sa chambre. Mais allait-il le suivre ? | |
| | | | Kobayashi Satoru
~ MAYAKU
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| | Sujet: Re: Drogue&sexe. [Satoru] Mer 13 Jan - 23:16 | |
| Ce mec ne manquait absolument pas de culot pour ainsi traiter Satoru comme cela mais lui s'en fichait car il jouait aussi le jeu du "charme" afin d'amadouer son adversaire. Ce dernier s'amusait avec ses mains qui se baladait sur la ceinture de Kobayashi qui baissa la tête regardant le spectacle que lui offrait ce fameux Hiroki. Croyant, bien évidemment, qu'entrer dans son jeu plus vite tout cela sera fini, le nippon glissa sa main sous la chemise d'Ota. Cela lui fit grimaçait car la seule personne avec qui il avait fait ça était de toute évidence l'autre gigolo Sora. Tout lui remonté, alors sans vraiment contrôler il planta doucement ses ongles dans la chaire à Hiro qui n'y prêta aucune attention, souriant de plus belle. Ce dernier s'approcha de son oreille et de son ton suave il lui rétorqua.
Ce que je veux ? C'est toi, cher Satoru. Ce Satoru en question ne fit paraitre aucune expression. Il voulait juste en finir même si tout de cela devait se finir au lit, Kobayashi voulait avant tout sa drogue, son élixir de vie qu'Hiro maintenait fermement entre ses mains. Pourquoi tant de lenteur? Et trouvant cela très amusant, Ota secoua le sachet. Pour qui il se prenait? Le drogué n'était pas un chien alors il pouvait arrêter de secouer comme ça. Seulement, Hiroki agissait sans aucune retenue, passant son doigt sur le torse de Kobayashi et glissa sur la ceinture débouclant d'une seule traite. Et ça lui faisait lécher ses lèvres ... Excitant c'est ça? Cependant notre nippon ne bougeait pas d'un cil, ne laissant apparaitre pas la moindre expression mais se maudissant intérieurement de ne pas bouger le petit doigt. Il regardait tout simplement faire ce qu'il faisait, ne rouspétant pas. Je te veux, toi et ton corp. Contre sa, je te donnerais cette drogue, que tu désires tant. Chantage tant que tu nous tiens. Jamais il ne coucherais avec lui ... Si obsédait que ça le répugnait. De plus, il avait déjà donné au niveau de coucher avec un homme ... Jamais il ne retenterait le coup. Surtout s'il lui ressemblait. Lorsqu'il passa ses doigts geler sous le t-shirt de Satoru qui tira une grimace voulant affirmer que cela lui glaçait le sang. Je suis gelé, mais je veux que tu me rendes chaud comme la brèse, Satoru ... Pas question. Il n'en était pas du tout question. Mais Hiroki montrait qu'il en voulait encore approchant Satoru contre lui, encore plus proche. Cela le dégoutait, il ne voulait en aucun cas finir sous les draps de ce mec vraiment louche, même si tout les gens ici sont louches lui en était le roi. Maintenant était le temps d'agir, Hiro allait vraiment trop loin. Mais ne pouvant dire mots car l'autre mec s'était trouvé plus rapide et avait placé son doigt sur les lèvres du drogué tout en s'approchant de plus en plus du visage de Kobayashi, il lui adressa de nouveau la parole pour lui transmettre ses dernière pensées. Chuuut ~ ... Ecoute moi. Suis-moi, et tu auras tout ce que tu veux ... Derrière cette phrase il supposait entendre qu'il fallait que Sato le suive sans rien dire ainsi ils passerons un "fabuleux" moment à se réchauffer et user toutes leurs "force" dans cette fugueuse envie. Kobayashi n'était toujours pas un chien donc le jour où il obéira à ce mec, les poules auront des dents. Néanmoins, il se laissa embrasser et tiré le bras vers la porte. Arrêtant la marche, le nippon frappa violemment la main qui maintenait Satoru emprisonné. Il lui déclara d'un ton sec et fronça les sourcils. Dans tes rêves. J'en trouverais ailleurs de la drogue, ici c'est pas c'qui manque alors laisse moi et va trouver un autre partenaire pour ta satisfaction. Après ça, il tourna les talons et marcha vers une autre sortie. Malheureusement, l'autre n'en avait pas fini avec lui et le rattrapa le plaquant contre le mur. Tentant bien que mal de se défaire de son emprise sur ses poignet Satoru n'avait presque plus de force et ses veines appelaient la drogue. Kobayashi en avait assez que Hiroki resserre de plus en plus la pression sur ses poignets. Mais lâche moi bordel! Je t'ai dis que je te suivrais pas alors arrête! Y'en a pleins des gens ici alors pourquoi moi?! Le nippon en avait plus qu'assez que cet Hiroki le plaque contre le mur et qu'il se rapproché de lui de plus en plus de son visage. Ne connaissait-il pas le respect de l'espace vital? Enfin bref, Kobayashi en vait vraiment marre alors il fronça les sourcils et gigota encore plus afin qu'Ota le lâche. D'ailleurs, il s'écria : Mais laisse moi! Bon sang, t'es collant ma parole ! | |
| | | | Ota Hiroki
~ FUUZOKU
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| | Sujet: Re: Drogue&sexe. [Satoru] Mar 2 Fév - 21:57 | |
| Oui, il pouvait tout faire pour obtenir son subtile corp élancer, c'ètait limite si la bave ne coulait pas sur le côté de ses lèvres. Il souriait, et cela ètait sincère. Il n'avait pas beaucoup sourit dans la vie, mais quand ses fantasmes et ses désires se trouvait juste au dessous de ses yeux, il ètait évident qu'un sourrir lui venait aux lèvres, aussi parce qu'il voulait tenter et manipuler son interlocuteur. Seulement, après quelque seconde, Satoru tapa sur la main du jeune prostituer accro au sexe, il fronça les sourcil, puis d'une voix marave, il déclara :
Dans tes rêves. J'en trouverais ailleurs de la drogue, ici c'est pas c'qui manque alors laisse moi et va trouver un autre partenaire pour ta satisfaction.
Cette phrase exita encore plus notre Fuuzoku. Jouer, c'ètait son but. Mais d'une autre côté, son coeur appellait l'amour, pourquoi ? Il est encore jeune ... Et les gens autour de lui sont tous en quête de l'amour, ils ont l'amour à leur porter, ils ont cette affetion et cette gentilesses aporter par se sentiment. Mais enfin, malgrès cette envie d'une vie normal, Il ne pouvait s'empêcher, il ne pouvait s'empêcher de vouloir aller voir ailleur, de vouloir voir de nouvelle expérience, de nouvelle personne. Mais enfin, ... Il avait toujours réver d'un jour ou il pourra chérir LA personne. Bref ... Il fut vite sortit de ses pensées quand Kobayashi se dirigea vers une autre sortit du toit qui se trouvait légèrement plus loin. Hiroki fut prit par une petit fureur d'exitation, puis il rattrapa le Mayaku et le plaqua contre le mur, ne voulant que lui, pour le moment. Les yeux emplit de perversité, il fixa Sato avec un sourire malsain, voulant l'avoir, plus que tout. Le jeune se débattait maint et maint fois, mais le Fuuzoku avait plus de force que ce dernier, et resserant son étreinte sur les poignet de Kazuya qui ètait coller au mur, son interlocuteur lança :
Mais lâche moi bordel! Je t'ai dis que je te suivrais pas alors arrête! Y'en a pleins des gens ici alors pourquoi moi?!
*Exitant* pensa t-il en se léchant les lèvres.
Certe, c'ètait surment prenant et saoulant d'être encercler par un inconnu qui ne voulait que son corp. Hiroki se mettait à la place de Satoru, mais chacun avait envie de leur propre "drogue" contidien, Hiro a trouver sa proie, alors pourquoi ne pas en profiter même si celui-ci ne voulait pas ? De toutes façons il ètait bien obliger d'accepter, il commencait à en avoir marre, a ne plus supporter ses veines qui n'appellait que sa drogue. Ota avait mentit, mais c'ètait aussi pour jouer. Il est joueur, et ? Beaucoup le sont, seulement, il ne faut pas se prendre au jeu du Fuusoku, sinon vous êtes pris dans ses filets qui ne se termine que quand il a eu ce qu'il voulait. Kobayashi y ètait emprisonner maintenant, et les deux seul choses qui le libérait sa serait, la soumission, ou bien la mort. Hiroki ètait du genre obstiner et déterminer, surtout très tétû, mais il ne lachait pas son emprise et sa pression porter sur les poignets du Mayaku. Ce dernier se débattait encore, puis, une dernière phrase lui vint à la bouche :
Mais laisse moi! Bon sang, t'es collant ma parole !
Un sourire aux lèvres vint encore une fois se déceler sur les lèvres du jeune Fuuzoku. Laissant un peu d'air à son interlocuteur, il lacha ses poignets, puis fit mine de réfléchir en croisant les bras et en marchant lentement tournant le dos à Satoru. Il posa une main sur son menton en se frottant légèrement, puis d'une voix imitant un peu les personnes de niveaux intellectuelle élever, il prononca ses quelques mots, toujours de dos à sa proie :
Et bien, je suis collant, surment parce que tu as envie de ta drogue, et moi de la mienne. Je peux te donner la tienne en échange de la mienne, alors pouquoi tu t'obstine a ...
Il se retourna à se moment même. Il fit de gros yeux en voyant Kobayashi s'en aller une fois de plus vers une des sortits du toit. Hiroki se mit à courrir vers le Mayaku qui hattait le pas pour ne pas se faire rattraper, mais faute de vitesse, Satoru se fit vite rattraper par le sportif Ota. Celui-ci lui attrapa le bras d'un pression ferme et rèche mais à se moment-là, Sato se retourna, et fit un geste qui le fit tribucher tout en s'accrochant au Mayaku. D'un sourire narquois, Hiroki ouvrit les yeux lentement et pouffa de rire en voyant le regard du jeune homme se trouvant en dessous de lui. En effet, la scène devait parraître comique, et puis ... Ota se plaisait dans une telle situation, c'ètait l'un de ses passe temps favoris ...
Etto ... Tu as retourner la situation à mon avantage Kobayashi !
Il rigola encore une fois et commenca à glisser ses mains vers le visage de Satoru. Il passa son index vers son lobe, puis descendit vers les lèvres de celui-ci pour ensuite essayer de l'embrasser une nouvelle fois, mais celui-ci, n'acceptait plus se genre de chose. Il tourna la tête a se moment la. Hiroki fronça les sourcils, il n'aimait pas qu'on ne se soumette pas à ses désirs, et pour cause ...
Tu es vraiment agacant ! Tu dois êtres épuiser à se moment même, je peux te donner ce que tu veux, et toi tu peux me donner ce que je veux, aussi. Pourtant tu t'obstines tu t'obstines, mais ... Satoru, tu t'enfonce et tu sombre. Laisse toi faire ... Onegai ...
L'interlocuteur regarda de travers Hiro, mais il avait toujours la tête tourner. Puis, comme si il avait de la pitié pour Hiroki, il remetta sa tête convenablement, en face de lui, tout en soupirant. Se soumettra t-il cette fois-ci ? Ou bien ètait-ce juste une feinte ou autres ? Néanmoins, cela fit sourrire encore une fois le Fuuzoku , puis il déposa ses lèvres humide sur la joue du jeune homme. Et dans un geste bref, il glissa encore une fois sa main, mais cette fois en dessous du tee-shirt de Kobayashi. Son corp ètait chaud ... Contrairement à la température de cette saisons d'hiver, ce qui fit frissoner légèrement Hiro. Et d'une voix suave, déterminer, il murmura ces quelques mots :
Si tu le veux, on peut commencer .... ici. | |
| | | | Kobayashi Satoru
~ MAYAKU
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| | Sujet: Re: Drogue&sexe. [Satoru] Mer 3 Fév - 18:47 | |
| Il n'y avait aucun doute là dessus, ce mec qui était devant Satoru était pire qu'obstiné. Toujours a vouloir aller plus loin avec Kobayashi, toujours a vouloir le piéger. Cependant, Hiroki pouvait vraiment paraitre incoscient, lachant les poignets de notre nippon puis lui tournant le dos il ne s'immagine tout de même pas que Satoru allait rester là, addossé au mur?!
Enfin libre, le drogué en profita pour tourner les talons et chercha une autre issue à se calvaire. Il regretté amérement d'avoir pousser la porte du toit, dans les couloirs il y aurait été en meilleure sécurité... Ou pas.
Et bien, je suis collant, surment parce que tu as envie de ta drogue, et moi de la mienne. Je peux te donner la tienne en échange de la mienne, alors pouquoi tu t'obstine a ...
C'est ça, cause toujours tu m'interresse. Kobayashi était bien loin pour entendre encore la voix du Fuuzoku. D'ailleurs, il ne l'interresser même pas. Hiroki pouvait bien prétendre qu'il avait la possesion de la drogue mais Kobayashi pouvait bien s'en contre fichait, il n'aurait qu'à demander à d'autre personne qui sont pareil que lui, alors à quoi bon s'obstiner avec cet arrogant qu'était Ota.
Plongé dans ses pensées, Satoru n'entendit pas tout de suite les pas rapide d'Hiroki et lorsqu'il entendit les pas qui se firent de plus en plus présent, Kobayashi opta pour marcher plus vite. Le fait de se retrouver coincé encore une fois par ce gars lui faisait frissoner de dégoût. Néanmoins, il se trouvait que ce mec était plus rapide que Satoru alors il pouvait facilement le rattraper. Ah ces sportifs, qu'il les maudissaient autant qu'ils sont.
Par son grand malheur, Ota put attraper facilement le bras du nippon et, malgrès lui, Satoru se tourna vers le collant et trébucha thétralement pour ensuite tomber à terre attrapant, sans y prendre grande attention, le bras d'Hiroki qui se retrouva sur Kobayashi.
Eh bien sur, tout cela dans le plus grand bruit de deux corps tombant l'un sur l'autre. Kobayashi laissa échapper un léger «itte» parce que oui, Ota Hiroki, avec tout ces muscles de partout, était vraiment lourd. Dans les deux sens du terme d'ailleurs.
Ce dernier ria au nez du drogué qui hossa un sourcil interrogatueur. Qui avait il de drôle dans tout ça? Le fait que Satoru soit tomber comme une merde à même le sol. Et il fallait toujours que cela lui arrive à lui.
Etto ... Tu as retourner la situation à mon avantage Kobayashi !
Haha. Très drôle. Qu'il pouvait être hilarant lui! Retourner la situation ... Il ne voyait pas en quoi étant donné que depuis le début c'était Hiroki qui ne faisait que de rapprocher, toucher, embrasser et cetera. Ota était vraiment quelqu'un de méprisant mais il fallait bien que tout les deux trouvent un point d'entente plus vite que possible histoire que cela se termine. Au plus vite si possible.
Le Fuuzoku, se drogué du sexe, après avoir glissé son doigt sur le lobe puis sur les lèvres de Satoru, il approcha ses lèvres vers celle de Kobayashi pour l'embrasser encore une fois mais il ne fut pas de cet avis et pivota sa tête. S'il croyait que les jeux étaient fait et que Satoru venait d'y perdre, Ota pouvait se mettre le doigt dans l'œil... Et jusqu'au coude.
Tu es vraiment agacant ! Tu dois êtres épuiser à se moment même, je peux te donner ce que tu veux, et toi tu peux me donner ce que je veux, aussi. Pourtant tu t'obstines tu t'obstines, mais ... Satoru, tu t'enfonce et tu sombre. Laisse toi faire ... Onegai ...
La meilleure. Il «s'enfonçait». Qu'il était de plus en plus drôle lui. Avec un élant de pure «compassion» il tourna sa tête face à Ota. Souriant de nouveau, il deposa un baiser sur la joue de Satoru et lui susurra alors avant de passer sa main sous le t-shirt de sa nouvelle victime :
Si tu le veux, on peut commencer .... ici.
Ici?! Était-il devenu fou? Par ce froid, Satoru allait surement attraper froid et tomber malade alors qu'il detestait le fait d'être souffrant. Notre nippon ecarquilla ses yeux puis les apaisa et entra dans le jeu d'Hiroki. Après tout, il fallait bien qu'il succombe s'il voulait que tout cela se termine. Son index effleura le torse d'Ota pour ensuite que sa main s'aventure dans la cheveulure de celui-ci.
J'espère que tu n'es pas sérieux? Je risquerais d'attraper froid.
Après cette phrase avec sa voix des plus suave possible, histoire que se soit concret, Satoru embrassa Hiroki et inversa les rôles se plaçant sur le Fuuzoku. Ses mains fleurté avec la chemise d'Ota pour ensuite en retirer quelques boutons. Interieurement, Kobayashi hurlait à la mort. Faire ça le dégouttait lui donnant presque envie de vomir. Pourquoi en arriver toujours là?
Bref. Il se leva laissant un Hiroki perplex. Le baiser était si bien que ça? Satoru lui souria faussement et tourna les talons non pas vers la sortie mais droit devant lui. Il entendit Hiroki qui se lever, alors il pressa le pas encore une fois. Se dirigeant vers une ... «cabane» où l'on pouvait trouver les outils pour nettoyer et tout le tralala. Kobayashi se tourna vers Ota qui le plaqua une fois de plus contre la porte de la cabane.
Là je n'aurais pas froid, Hiroki~
L'Hiroki en question attrapa les jambes de Satoru afin de les enrouler autour de ses hanches pour mieux le porter vers la cabane. Le drogué l'embrassa langoureusement se laissant porter et mener vers l'endroit tant voulut. Qu'il se maudissait interieurement. Hiroki le plaça sur une table des plus poussiéreuse et défaisa la ceinture de son joujou. Ce dernier en fit de même l'embrassant toujours puis, par un excés de violence parce que c'est sexy, Ota attrapa les frêles poignet du drogué et ainsi l'enfonça encore plus le plaquant contre le mur afin que le Fuuzoku parvienne à se mettre à genoux sur la table.
Ne voulant guère éveiller les soupçons, Satoru descendit ses mains cherchant dans les poches du jean du très chèr fournisseur de drogue, son elixir. Ne trouvant pas le sachet où y contenait la drogue, Satoru fronça les sourcils arrêtant leurs baisers fougueux.
Hiroki ne répondit pas à la question et se contenta de déposer de furtif baiser dans le cou de Satoru. Si Ota n'avait pas le sachet cela voulait dire que leur «contrat» s'arrêté là. Il ne voyait pas pourquoi il continuerait d'embrasser Hiroki.
Poussant violement ce dernier, Satoru s'apprêta a partir lorsque Ota lui attrapa son bras et le plaque de nouveau contre le mur. Ses mains allèrent derrière son propre dos et lui dévoila le sachet tant recherché.
Soudain, Satoru prit son elixir de vie rapidement et l'ouvrit. Son doigt passa sur la drogue et il porta son index à ses lèvres. Sa source de vie avait enfin retrouvé le corps du drogué. Mais lorsqu'il y gouta pour la deuxième fois, il y trouva comme une autre saveur, un autre gout. Son regard se posa sur celui d'Hiroki qui ria à plein poumons.
Du sucre ...? Tu m'as duppé!
Balançant le sachet par terre, foudroyant son interlocuteur. Pourquoi l'avoir duppé comme ça? Ce gars était de plus en plus méprisant. Les forces du drogué le quittait, il ne pouvait absolument plus riposter à Ota. Malgrès, il laissa ce Fuuzoku le toucher, l'embrasser, le déshabiller. Tout lui semblait fou. Rien ne coordoné.
Étant aller trop loin, Satoru se résigna et se mit à genoux afin d'enlever la braguette avec ses dents parce que c'est toujours plus exitant même si Kobayashi ne controlait plus son corps. Il voulait y croire encore qu'Ota ne l'avait pas trompé avec cette faussee drogue, il voulait croire qu'après tout cela Hiroki lui donnerait ce qu'il voudra. Ses mains enleva le pantalon de ce dernier puis le calçon afin que Kobayashi embrasse le membre d'Hiroki pour ensuite le prendre en bouche faisant des vas et viens. Ota, quant à lui, carressait la tête de son jouet et jouissé. Il jouissait de ce que faisait Satoru sur son sexe, il jouissait de la soumission du drogué, il jouissait de ses mauvais complots.
Hiroki était ouvertement horrible avec son humour noir, sa violence gratuite. Le nippon enleva ses lèvres et baissa la tête comme pour cacher sa honte, sa soumission. Tandis que le Fuuzoku, fièr de lui, remonta son pantalon et s'agenouilla à la hauteur de Satoru, ce dernier avait de plus du mal à se controler. Son corps ne répondait plus de rien, la drogue lui manquait tellement.
Vas-y. Fait ce que tu veux avec mon corps. Après tout j'ai plus rien à perdre.
Juste après ces mots, le drogué sentit comme si on l'enlaçait et qu'on l'allongé. Il ferma les yeux quelques instants afin d'oublier ce qui allait se passer. | |
| | | | Ota Hiroki
~ FUUZOKU
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| | Sujet: Re: Drogue&sexe. [Satoru] Dim 21 Fév - 13:57 | |
| Il n'avait jamais ressentis cette envie aussi intense, cette chose en lui de désirer autant se corp qui allait bientôt lui appartenir ... Appartenir à son être. Il avait tellement envi de lui; En même temps il ne se laissait pas faire, et c'est sa qu'il appréciait. Il jouait ... Il jouait ... Mais à la fin ... Il devenait impatient; Lui ce qu'il voulait c'est que leurs corps ne fasse plus qu'un. Passer une fin de journée agréable et tordante de désir. Se coller à lui pour ne plus jamais se désserer. L'envelloper dans ses bras, pour sentir sa chaleur l'envahir. Lui donnant ses lèvres pour pouvoir lui faire du bien, et tester ses baisers sous l'emprise du désir. Lui donner son sexe pour jouer avec comme il en a envi. C'est sa qu'Hiroki voulait. De l'envi, du désir, il en avait déjà. Mais de l'action ...
Cependant, Le jeune Mayaku semblait se meller au jeu qu'avait lancer le Fuuzoku. Lancant filer son index sur le torse musclé d'Ota, Il fit d'une petite voix suave :
J'espère que tu n'es pas sérieux? Je risquerais d'attraper froid.
Hiroki se redressa quelque seconde et furta un peu les environs. Il ne faisait pas si froid, mais il fallait avouer que la petite brèse du vent laissait apparraître des léger frissons. Hiro allait décliner l'offre et s'aventurer autre part pour finir ce qu'il allait commencer avec le Mayaku, quand soudain, celui-ci retourna la situation en passant au dessus de Hiroki. Déjà, se geste le laissa très perplexe. Jusqu'a maintenant, Satoru n'avait oser rien faire, du moins, il n'avait pas essayer de se positioner supérieur que Hiroki. Continuant ce qu'il venait de commencer il l'embrassa même un centième de seconde plus tard, puis déboutona quelque boutons de sa chemise. Mais que voulait Satoru ? N'avait-il pas dit auparavant que le Fuuzoku ètait collant ? Qu'il ètait chiant ? Mais enfin, Ota n'allait pas se plaindre après tout ... Si Kobayashi voulait commencer, il n'y avait aucun problème.
Il se leva, laissant encore une fois Hiroki plus qu'éttoner. Le Mayaku n'allait pas vers la sortit, non ... Il allait vers la petite cabane qui servait à ranger les objet de nettoyage, d'outils, et cetera. Par instinct le Fuuzoku le suivis et remarqua qu'il hatait le pas.
*Il va ou comme sa? ...* se disait-il.
Le suivant toujours, voulant encore son corp élancer et agréablement sexy, -D'ailleurs, il ne le lachera pas d'une semmelle-, Le Fuuzoku ne perdait pas des yeux Kobayashi. Ce dernier se retourna avec un léger sourire :
Là je n'aurais pas froid, Hiroki~
Hiroki regarde attentivement la cabane, puis un sourire machiavélique se dessina sur ses lèvres. Il ne perda pas de temps avant de prendre Sato' et d'enfiler ses jambes autour de ses hanches. Les deux s'ebrassèrent langoureusement, laissant apparaître des léger gémissement et des soufflements de plus en plus présent. Hiroki fit un peu de place sur une table, puis posa délicatemet le jeune Mayaku sur cette table-dite. Il commenca à déboucler sa ceinture, et son interlocuteur fit de même. Dire que Hiroki attendait se moment depuis plus d'une heure. Kobayashi ètait quand même, l'un des seuls homme qui lui avait résister aussi longtemps. Mais qui resisterait à un cadeaux comme la drogue et le sexe ? Les deux seul choses qui font vivre l'homme aujourd'hui. Et c'est la qu'Ota prit par un élan de folie sexuelle, prit les poignet de Satoru pour faire en sorte qu'il puisse monter à genoux sur la table, au dessus du soumis.
Ota sentit des caresses descendre jusqu'a ses poches de pantalon. Il ne pensait pas que Satoru allait chercher sa drogue, du moin, pas pour le moment. Ce qui voulait dire qu'il ne faisait cela que par intêret, mais ans envie, ni désire. Juste pour obtenir ce qu'il voulait, ce qui atrista légèrement Hiro. Lui, il aimait que les deux passent un bon moment, et qu'en se réveillant, il entendait :" j'ai passer un merveilleux moment à t'es côté" Il aimait entendre ses paroles. Mais aujourd'hui, il ne pourra surment pas les arracher de la bouche de son Bien aimé Satoru. Seulement, il ne trouvait pas son élixir, sa drogue.
Où elle est?
Hiroki savait ce qu'il allait se passer si Satoru trouvait le sachet de sucre à la place du sachet de drogue. Il ne voulait pas que se moment magique, à ses yeux, s'arrête. Alors il se contenta de continuer ses doux baiser dans la nuque du Mayaku. Mais celui-ci le poussa violemment en comprenant la dupperie qu'il se passait. Il allait pour partir, laissant le Fuuzoku seul dans la cabane, mais ce dernier n'allait pas laisser partir sa proie aussi facilement. Surtout en si bon chemin, il n'allait pas le laisser partir, même la mort ne l'empêcherais pas. Il attrapa le bras sans défense de Kobayashi et le tira jusqu'a lui, une dernière fois. Il le regarda quelque seconde et sortit le sachet d'une de ses poches et le tendit légèremen vers son interlocuteur. Satoru l'attrapa d'un seul coup et passa son doigt dans la poudre tant demander de sa bouche et de ses narines. Il y gouta 1 fois... Puis ... La 2ème fut fatidique.
Du sucre ...? Tu m'as duppé!
Il balanca le sachet de sucre qui éclata à terre. Il envoya un regard noir à ce Fuuzoku ne demandant qu'a continuer ce qu'il venait de commencer. Oui, pour le moment il s'en fichait de ce qu pouvais ressentir son jouet, il voulait juste utiliser son corp pour se lacher et jouïr de ses désires permanent. Il s'en contre fichait du manque que pouvait éprouver Kobayashi, sans sa drogue, il ne pouvait plus respirer, il ne pouvait plus être lui-même. Il ne se possédait plus, il ne pouvait plus se contrôler. Il n'ètait plus maître de ses actes, c'est pour cela qu'il s'agenouilla, cédant aux envies du Fuuzoku, puis il attrapa sa braguette de ses dents, c'ètait tellement plus exitant. Il voyait Kobayashi ne se contrôlant plus, mais ... C'ètait toujours aussi exitant, alors Hiroki ne se méfia guère. Il se contenta d'observer l'agréable scène. Sato lui enleva le pantalon, puis enfin le calecon qui séparait le membre de la bouche de Satoru. Puis, celui-ci le prit en bouche, et fit des va et viens. Hiro, lui, aimait tellement cette sensation. Il avait enfin sa propre drogue sous ses yeux, son héroïne, sa cocaïne. Le sexe quoi. Il poussa un énorme jouissement, puis gémissa quelque fois. Il ne se rendait pas conte que le Mayaku ne s'appartenait plus, il n'ètait plus lui même, il ètait soumis aux ordres ... Il sombrait, il dépérissait. Hiroki ? Lui, il se contentait de caresser la tête de son interlocuteur
Mais celui-ci enleva le membre de sa bouche, puis, comme vert de honte, il baissa la tête pour ne pas que Ota puisse le voir. Oui, il devait être surment gêner, il ne faisait pas sa tout les jours je pense. Mais Hiroki, contrairement à lui, il le faisait bien tout les jours. Aucune honte à se faire de sa part. A part peut-être la souffrance qu'il donnait gratuitement à Kobayashi ... Alors, il s'agenouilla et l'observa quelque seconde. Il avait le regard vide, le visage pâle, on aurait dit qu'il ètait malade ...
Vas-y. Fait ce que tu veux avec mon corps. Après tout j'ai plus rien à perdre.
Sans plus attendre, le Fuuzoku l'entoura de se bras musclé, et l'allonga délicatement. Il vit Satoru fermer peu à peu les yeux, et cela devenait quand même inquiétant. Mais pousser par son envie, Hiroki continua ce que Kobayashi avait commencer. Il l'embrassa d'abord dans sa nuque, pour glisser ses lèvres jusqu'a ses lèvres. Seulement, Satoru ne répondait plus. Il ne donnait aucun signe de vie. Et c'est à ce moment la qu'Ota, prit par l'angoisse que Sato titubait sur place, il demanda calmement :
Kobayashi, tu vas bien ? T'as pas une mîne super la ...
Le jeune homme entrevrit ses yeux, humide, très humide, comme si il allait pleurer. Hiroki, -pour la première fois de sa vie-, s'inquiètait pour la santé de l'homme en face de lui. Il fronça les sourcil puis redressa Kobayashi pour le mettre en position assise. Il l'observa quelque seconde, puis il posa son pouce sur un de ses poignet pour vérifier son pou. Il ne sentait rien, même pas l'ombre d'un battement. Prit de peur, il posa ses deux doigt sur la veine qui passe dans le cou, et la, il pouvait sentir de léger battement, encore présent. Hiroki écarquilla les yeux, il ne savait pas quoi faire,il ètait désenparer. Il s'en voulait de ne pas avoir montrer une infine inquiétude pour Kobayashi. Il s'en voulait, il ètait désenparer, il ne savait pas quoi faire. Stresser, il se mordait les lèvres, il passa plusieurs fois ses mains dans ses cheuveux en soufflant. Et ... il eu une illumination. Bien sûr, Satoru avait besoin de sa drogue permanente pour vivre. Alors il fallait aller lui chercher, cette drogue ...
Hiroki n'attendit pas une seconde de plus. Il prit une couverture, puis la mit sur Kobayashi, pour ensuite partir en courant vers un endroit qu'il connaît bien ... Un endroit rempli de drogué, des potes quoi. Dans l'enceinte du lycée, Hiroki ètait assez connu. C'ètait presque normal, chaque personne qui l'interesse se retrouvait quelque minute plus tard, dans son lit. Il ètait plutôt du genre à ne pas réfléchir. Quelqu'un l'interesse ? Hop; j'te monte; j'te baise; et j'te jette. Seulement ... Ota n'avait jamais ressentit sa. En tant normal, il aurait amener le jeune homme à l'infirmerie, ou pire ... Il l'aurait laisser à son propre sort. Oui, Hiro n'aime pas trop s'aventurer dans ses histoires comme tel, mais pourtant, aujourd'hui, il avait la sensatin de vouloir aider la cette personne ... Il ne savait pas pourquoi, ni comment, mais il s'y ètait déjà attacher, à se Kobayashi. Avait-il eu le déclic ? Comme qui dirait ... Des sentiments?
Ota se secoua la tête en reprenant ses esprits. Cela ne pouvait pas devenir possible, après tant d'année de prostitution, il allait tomber amoureux d'un simple mec ... Mais pourtant ... Se simple mec le faisait planer, et il avait ce besoin de vouloir l'aider. Ne lui demandez plus pourquoi ... Il le sait maintenant.
Il regarda autour de lui, perdant tout sens de l'orientation. Il ètait stresser, Oui ... Stresser de sa voir que la vie de Satoru ètait entre ses mains. Il en perdait quelque peu ses moyens. Mais il pousuivis ses grands pas vers l'endroit désirer. Le sous-sol du lycée. Entre le toit et le sous-sol, il y avait quand même une grande marge, mais Ota ètait un grand sportif, parcourir autant d'escalier ne lui faisait aucunement peur. Il sauta 3 par 3 les dernières marches d'escalier, et tomba né à né avec une vingtaines de personnes en train de fumer ... Certain aspirait des substance par les narines, d'autre avait le sourir aux lèvres, bouteille à la main. L'endroit ètait délabrer, et seul une petite lumière pouvait éclarer la pièce sombre et sale. Mais cela alait avec l'ambiance obscure que la salle dégorgait.
Hiroki conaissait cet atmosphère.A vrai dire, il y passe la moitier de son temps. A la fin, il ne repartait jamais bredouille, JAMAIS. Il repartait les joues rosâtre, un homme ou une femme au bras. Que voulez-vous ? C'est sa la vie de prostitué. Mais Ota le vivait assez bien, enfin,jusqu'a aujourd'hui.
Il arriva un peu essoufler, ce qui ètait assez rare. Et d'ailleurs, tout les yeux se porta sur lui. Il y en avait qui se fandait la poire à voir Hiroki aussi essoufler. Ils n'ètaient pas habituer à vrai dire. Ota s'approcha d'un homme qui ètait assis, une cigarette à la bouche, qui jouait au poker avec l'un de ses compagnons Mayaku. Il tourna lentement sa tête vers Hiroki. Puis il prit sa cigarette, et l'écrasa dans le cendrier qui ètait poser sur la table. Il se leva et se metta face à face avec Hiro, et un large sourire s'exprima sur son visage. Il attrapa Ota par le côté de ses épaules, tout en s'enthousiasment :
Beeeh didonc ! Sa fait un baille que j'tai pas vu la Mon ptiot ! Qu'est-ce tu d'viens ?
Bah écoute. Je vis ma vie Ruki.... Ano ... J'ai une très grosse faveur à te demander.
Vas-y, dit moi tout, tu sais que tu peux tout me demander !
Hai ... En fait ... Je ... Je me suis mis à la drogue. Je ne peut plus m'en passer à vrai dire ... Seulement; en se moment même j'ai des pannes d'argents. Et si sa ne te dérange pas, est-ce que tu peux me donner un sachet de ta drogue s'il te plaît ? J'ai casiment plus de force ... Je succombe ...
Maaaaaah~ Tu me demandes beaucoup la. Tu sais très bien que ma drogue c'est comme ma vie.
Je sais mais ... Je ...
Bon d'accord d'accord. Mais tu me rembourses hein ?! Parce que, j'ai beau t'apprécier comme mon petit frère Hiro, Mais la drogue c'est ma propre vie. C'est compris ?
Hai, compris ... Merci beauoup.
Ruki ,-Un des amis le plus proche de Hiroki- , Sortit un petit sachet de cet éléxir. Puis d'un bref geste, Hiroki l'attrapa, et fit un signe de tête pour le remercier et repartit aussi tôt sur ses pas. Il recommenca à courrir aussi vite qu'il pouvait, bousculant n'importe qui sur son passage. Il s'apprêtait à franchir la porte du toit, quand soudain il s'aperçu que celle-ci ètait condaner. Il écarquilla les yeux et couru vers une autre porte qui menait jusqu'au toit. Il ètait essoufler, seulement ... Il voulait le sauver, coûte que coûte. Il s'empara de la poignet de la 2èmes porte, celle-ci s'ouvrit. La pluie avait envahi le ciel, tout le toit ètait mouiller, et les nuages ètaint devenu Noir/gris.Le ciel commencait à s'assombrir, la nuit commencait à tomber. Hiroki ne s'en soucia pas, alors il courru à travers le toit pour rejoindre Kobayashi. Ouvrant la porte de la cabane, stresser de toute cette péripétie, Ota s'agenouilla auprès de Satoru, observant ses moindres faits et gestes. Celui-ci semblait être tomber dans les vappes, mais toute fois conscient de ce qui se passe autour de lui. Il ouvrit les yeux, et murmura quelque parole qu'Hiroki ne comprena pas au premier abord, mais il se dépêcha d'ouvrir le sachet de cet Elixir, puis entre-ouvrit la bouche de Sato', pour ensuite y verser petit à petit la poudre blanche. Il attendit quelques instants, puis lanca le sachet derrière quelques outils. Il remetta correctement la couverture qui recouvrait le jeune Mayaku. Hiroki ètait inquiet, inquiet pour son ex-jouet, pour son ex-jouissance, ses ex-désires ... Il se contenta de rester près de lui, l'observant toute la nuit, jusqu'a ce que le sommeil prenne possession de ses paupières ... Il fut vite endormi aux côtés de Kobayashi, qui, peut à peut, reprenait esprit ...
Ota observa un dernier instant Satoru, et, s'emparant d'une moitier de la couverture, il murmura :
Dors bien ... Satoru...
Un sourir se dessina sur ses lèvres. Et, il s'endomit profondément, près de lui ... | |
| | | | Kobayashi Satoru
~ MAYAKU
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Date d'inscription : 28/10/2009
| | Sujet: Re: Drogue&sexe. [Satoru] Mer 24 Fév - 17:25 | |
| Sentant les lèvres brûlantes se poser sur son cou puis se glissant vers ses lèvres afin de les celler, Satoru ferma un peu plus ses yeux ne voulant réaliser ce qu'Hiroki faisait. Tout deux avait passé un accord, seulement le seul qui s'était retrouvé honnête était Kobayashi ce qui le perdit car il se retrouva bien vite dupé. Du sucre. C'était comme ci le Fuuzoku avait attiré sa proie rien que pour jouer. Au final il venait de gagner sur toute la partie.
Kobayashi, tu vas bien ? T'as pas une mîne super la ...
Non, bien sûr que non il n'allait pas bien. Comment pouvait-il poser une question pareil? Les mots n'arrivaient pas à la bouche du drogué, ce qui semblait inquiéter Ota qui le redressa aussitôt touchant le poignet de Satoru. Ce dernier l'observait sans rien faire voyant que ses forces s'étaient toutes envolées. Puis la main glacée d'Hiroki vint rejoindre le cou de Kobayashi. Que faisait-il au juste? Il en avait aucune idée. Puis, après plusieurs minutes de pure réflexion, Hiroki se leva et quitta la cabanne et Satoru pu entendre le claquement de la porte du toit. Il était partit? Pour de bon? Le nippon hossa un sourcil, quelle réaction bizarre avait eu Ota.
Enfin bon, il était temps pour Kobayashi de se débrouiller seul. Aide toi et le ciel t'aidera, cette citation fit rire faiblement le drogué. Cependant il remarqua qu'une couverture avait été posé sur lui négligement. Hiroki avait eu le temps de faire cela? Voilà que s'en était le comble; il perdait dès à présent la notion du temps. A scène pathétique pour jeune garçon désespéré.
Plusieurs minutes que son annarqueur n'était pas revenu. Il ne reviendra donc pas. Tant mieux ... Tant pis? Laquelle fallait il choisir? Koabayashi se laissa glisser pour s'allonger de tout son long sur le sol froid, la position assise lui donné un certain malaise. Il s'endormi peu de temps après.
Ses rêves était tous plus glauque les uns des autres. A vrai dire, tout les rêves sont glauque, bizarre, macabre si ont les laisse faire à leurs guise. Satoru était à présent tombé dans les bras de Morphée ne se souciant guère de ce qui pouvait bien se passer autour de lui. Après tout, il était tout seul, abandonné comme un vulgaire chien, alors à quoi bon se soucier de l'entourage? Balais, sceau, serpillère, outils coupants bref, tout cela n'était guère vivant.
Néanmoins, il entendit comme un claquement de porte a nouveau et qu'on ouvrait la porte. Ne pouvant réagir, Satoru ne bougea pas bien trop épuisé. Cependant, il sentit qu'on le leva un peu sa bouche parlait contre son grès sortant des mots incompréhensible. Une poudre, et non du sucre, passa dans sa bouche qu'il avala aussitôt. Satoru sentit ses forces reprendre, tout redevenait normal. La drogue avait donc fait son effet. Le drogué ré-ouvrit les yeux afin de voir son “sauveur„ qui n'était autre qu'Hiroki. Il était donc partit chercher cette drogue.
Ce dernier prit un bout de la couverture de Satoru et s'allongea à côté de lui. Kobayashi sourit légérement observant Ota qui était fatigué par les événements.
Celui-ci vit se dessiner un sourire radieux sur le visage fin d'Hiroki qui s'endormit peu à peu prêt de Kobayashi. Donc c'était à lui qui s'endormit dans les bras de Morphée. Pénible lorsqu'on était réveiller tout comme Satoru. Cependant il tenta de s'endormir de rapprochant d'Hiroki posant sa tête sur son torse. Oui car il fallait choisir entre le parquet ou le torse d'Ota qui était nettement mieux que ce froid de par terre.
Mais rien à faire! L'adrenaline était encrée dans le corps du drogué. Hiroki, lui dormait à poing fermé. Satoru secoua doucement Ota afin qu'il se réveille mais en vint.
Ota ... Otaaa~ ... HIROKI !
Après ces dires, le nippon poussa violement Hiroki de la couverture et le regarda se reveiller d'un bon. Fièr de lui, Kobayashi souria à Hiroki qui écarquillé les yeux et s'avança a quattres pattes du Fuuzoku. Malgrè le fait qu'il s'était montré malhonnête envers le drogué, il l'avait sauvé en allant chercher de la drogue. Le remercier était éventuelle. Arrivé à une infime distance du visage d'Hiroki, Satoru se colla contre le torse de ce dernier et entoura son cou de ses maigres bras.
Arigatô Hiroki. Sans toi je serais peut être mort qui sait? Je dois te récompenser, ne? C'était ça le marché, n'est-ce pas?
Kobayashi qui était d'une certaine arrogance et ne rendant jamais un service, il se montrait le contraire avec Hiroki. Pourquoi? Il n'en avait aucune idée. Sûrement l'adrenaline qui se développé en lui. Le nippon vit un sourire se s'afficher sur les lèvres d'Ota, certainement qu'il était ravi que Satoru puisse lire dans ses pensées. Il l'embrassa et sentit la main du Fuuzoku s'aventurer dans sa crinière châtain.
Plus les baisers se faisaient long et plus Ota les approfondissé. Puis Kobayashi sentit qu'on l'allongea. Ses mains glissèrent sur la chemise d'Hiroki ainsi il pût lui enlever les boutons qui en devait pénible. Les mains du drogués continuèrent leurs explorations vers la ceinture du Fuuzoku et la débloucla doucement. Entre deux baisers fogueux, Koabayashi articula.
Qu'est-ce qui t'as pris de vouloir m'aider? Une envie de pouvoir continuer ou ..?
Satoru embrassa le cou d'Hiroki et déboutonna le bouton du jean de son interlocuteur et défit sa braguette par la même occasion. Mais il s'arrêta et posa ses deux mains sur le torse d'Ota attendant la réponse. Il pouvait donc penser -et ce qui était même juste- que Satoru continuera si Hiroki reponde à la question avec toute honnêteté. | |
| | | | Ota Hiroki
~ FUUZOKU
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Date d'inscription : 23/12/2009
| | Sujet: Re: Drogue&sexe. [Satoru] Jeu 4 Mar - 23:11 | |
| Il s'endormit paisiblement, et comme à son habitude, il rêva de beaucoup de chose à la fois. Oui, Hiroki avait pour habitude de rêver de beaucoup de choses, et quasiment que des rêves prémonitoire qui prédisait ses faits et gestes dans les jours qui suivaient. Se soir la il rêvait être dans une ruelle, vêtu d'un long manteau noir, on aurait dit un ... un dealeur. Des lunettes de soleil, surement pour pas qu'on le reconnaisse, il marchait le long d'un mur suivit par une personne étrangère à son être. Une personne plutôt efféminé et élancer, mais surtout sexy. C'était tellement bizarre que Ota fronça les sourcils sans vraiment le vouloir. Il voyait ... Il voyait une pièce plutôt noir, un homme essayant de le déshabiller, et lui, se laissant faire à contre cœur, écœuré par le sexe pour la première fois de sa vie. Car ... Pour la première fois aussi, il n'avait envi que d'une seul personne, Satoru. Être près de lui, s'occuper de lui, lui donner tout se don il a besoin et se don il a envi... Il le veut, tout simplement. Comme si il n'avait plus que lui en tête, qu'il était tomber amoureux de lui, pourtant cela paraissait être incensser , d'avoir des sentiments aussi vite, mais il ... Il se sentait maintenant obliger de rester près de lui, pour ne jamais repartir. Comme si il l'avait prit sous son ail, Hiroki l'aimait.Une voix l'interpela. Il entendait une voix peu à peu venir de plus en plus faire de son "rêve" sauvage.Une voix douce premièrement, puis une voix plus forte le fit revenir à la réalité.
Ota ... Otaaa~ ... HIROKI !
Après avoir entendu cette voix résonnant dans sa tête, il fut brusquement réveiller par quelqu'un qui le poussa violemment, le dégageant de la couverture qui lui couverait de la fraîcheur de la nuit. C'était comme si on lui avait violemment taper sur la tête, le faire réveiller brusquement n'ètais pas bon pour lui, lui qui à des tendances à stresser pour rien et à s'emballer pour rien aussi. Il regarda autour de lui, affoler. Premièrement, il voyait un peu flou, comme si il venait de se réveiller d'un long sommeil -alors que sa faisait à peine 1heure qu'il dormait.- Il vit alors le doux visage de son bien aimé, Kobayashi Satoru. Il eu un léger sourire en le voyant, et celui-ci s'avança à quatre pattes vers Hiroki puis se colla à son torse pour envelopper son cou avec ses bras fin. Ota reprenait ses esprits, observant la scène. Sato' ne s'était jamais montrer aussi ... affectueux ? Même un simple enlacement m'étais Hiro à l'aise, et un léger sourire s'installa peu à peu sur son visage satisfait.
[b]
Arigatô Hiroki. Sans toi je serais peut être mort qui sait? Je dois te récompenser, ne? C'était ça le marché, n'est-ce pas?
Oui, sans lui il serait peut-être mort ... Il aurait succomber au manque de cette drogue. Et Ota souria de plus belle, il ètait content que Satoru se sente mieux, et qu'il n'en veuille plus à Hiro. Il était heureux aussi ... Car Kobayashi semblait maintenant "s'attacher" à Hiro. Le Mayaku n'hésita pas un instant avant de l'embrasser, tandis que le Fuuzoku passa une main dans les cheveux soilleux de son partenaire, tout en approfondissant de plus en plus, donnant l'envi d'aller plus loin -une fois de plus-. Leurs souffles s'entremêlèrent, et tout deux partirent dans un moments torride. Le Mayaku passa furtivement ses mains sur le corp de Hiroki, après tout, il y avait de quoi ... Vu se corp si sportif et sculpté, cela devait être un fantasme de pouvoir le caresser, mais Satoru pouvait le faire quand il le voulait, c'ètait maintenant sûr et certain. Il descendit ses mains vers la ceinture de son partenaire et déboucla la ceinture ainsi que sa chemise qu'il enleva d'un geste bref mais toutefois sensuel. Il savait s'y prendre se Mayaku ... Mais pourtant, il savait resté sexe. Quand à Ota, il ne pouvait s'empêcher d'admirer son corp éfféminé qu'avait Kobayashi. Pas très musclé, mais juste ce qu'il faut, fin ... Mais surtout, séduisant. Cela commencait à éxité Hiroki, mais il se voulait plutôt doux, au contraire de d'habitude. Il l'allonga doucement sur le par terre froid, en prenant précaution quand même d'avoir mit la couverture en dessous Satoru, faire quelque chose sur le sol froid ... Ce n'est pas tellement ... Bon. Ota vit le Mayaku prendre une légère inspiration pour hausser la voix quelque seconde et dire d'une voix demandeuse :
Qu'est-ce qui t'as pris de vouloir m'aider? Une envie de pouvoir continuer ou ..?
Il embrassa le cou de Hiroki et s'arrêta en posant ses mains sur le torse de celui-ci, comme pour lui demander d'être honnête dans ses paroles. En fait ... Hiro à en quelque sorte craquer sur son visage, sa beauté, son caractère -plutôt tétû-, tout ... Hiroki n'est pas du genre à se laisser séduire par banalité, mais Satoru n'ètait pas une banalité, loin de la. En tout cas, aux yeux d'Ota, il ètait bien plus, beaucoup plus. C'est un homme charmant, envoutant. Tout ses faits et gestes faisait fondre Hiroki, -Même si jusqu'a maintenant, ce n'ètais que du sexe-. Et l'envi de l'aider lui ai venu subitement, comme une envie de "pisser" comme dirait certain. Il à été tellement horrible en effet, il n'aurait pas supporter de laisser le pauvre Kobayashi inanimé dans cette cabane, le laisser pourrir alors qu'il étais près à donner son corp pour sa drogue qui lui sert de vivre. Sa drogue, ètait vraiment importante pour lui, sa force le quittait quand il n'avait pas eu sa dose .. C'est pour cela que Hiro se contenta de répondre honnêtement et avec franchise :
J'avai seulement envi de te sauver. Je ne voulais pas te laisser dans l'impasse. Je sais pas ce qui m'a prit ... En fait, pour tout te dire, c'est la première fois de ma vie que j'ai eu cet instant d'aller chercher ce qu'il te fallait. Tu sais Satoru ... Je ne suis pas le genre de personne qui aime épauler les gens, qui les soutient, qui les aident en cas de problème. Pour moi, chacun sa merde dans n'importe quel cas. Mais avec toi ... C'est différent ... J'ai sentit comme ... Comme si mon devoir ètait de t'aider et cela, à n'importe quel prix. Je ne faisais pas sa par intêret bien au contraire.
Il se redressa légèrement en se mettant à califourchon sur Kobayashi qui attendait surment plus d'explication, même si son visage semblait de plus en plus détendu. En effet, Hiroki n'ètait pas du genre à sortir de belle phrase, en général il gardait tout ses dires pour lui et ne les donnait à personne d'autre. Néanmoins, il fallait bien des explications, et puis, sa ne le dérangait pas plus que sa, bizarrement.
Si tu veux savoir, je ne sais même pas pourquoi je suis comme sa avec toi. Je l'ai jamais été avec qui que se soit , même pas avec ma propre famille et ma petite soeur ... Avec personne. Seulement, toi ... Je ne sais pas comment expliquer ce que je ressens... Ano ...
Les mots ne sortaient plus de sa bouche. Il se trouvait assez gêner, pour une fois. Lui qui à une grande gueule de nature, il se trouvait maintenant timide. Mais qu'arrivait-il à Ota ? Non il ne devenait pas fou, il ètait peut-être sentimentale et attacher maintenant à cet personne. Lui dire quoi après tout ? Amoureux est un grand mot. Les mots exact seraient ...
Demo ... Je me sens obligé ... De rester près de toi ...
Bizarrement, Ota ne se trouvait pas convaincant à se moment même. Il sentait qu'il n'avait pas tout dit, mais il n'osait pas le dire. Il baissa les yeux... car ses arguments ètait légèrement flou. Mais Kobayashi semblait ne pas trop s'en rendre compte, et attrapa le coup du Fuuzoku pour ensuite s'emparer de ses lèvres et partir dans une nuit torride...
Les deux s'empréssèrent de se déshabiller fougueusement tout en restant doux et sensuel. Leur souffle se faisait de plus en plus vif et il laissèrent sortirent quelque gémissement par moment, montrant leur jouissance pour se moment si intense. Hiro commenca à caresser le membre de son partenaire, et celui-ci se metta à souffler de plus en plus fort, il y a de quoi. Après quelque seconde de tendre caresse, Ota embrassa l'objet maintenant dans ses mains, y passa le bout de la lanque quelque fois, puis le mit en bouche et fit des petit va et vien pour faire durée le plaisir. Il fit cela de plus en plus vite, oui, le plaisir ètait la ... Kobayashi le faisait ressentir, et la, il ne se forcait pas, cela se voyait. Et pendant une demi heure ... Se fut une nuit des plus toride [...] | |
| | | | | | Drogue&sexe. [Satoru] | |
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